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Selon l'enquête 2020 du "Economist Intelligence Unit", 85% des femmes dans le monde ont été victimes ou témoins de violences numériques à l’encontre d’autres femmes. D'autres part, 57% des femmes ont vu leurs vidéos ou images en ligne faire l’objet d’abus ou de manipulation.

Au Cameroun, divers acteurs de la lutte contre les Violences Basées sur le Genre & personnes des médias ont saisi l'opportunité des 16 jours d'activisme contre les violences faites aux femmes et filles pour pousser la réflexion sur comment sensibiliser le grand publique sur l’accès au BodyRight.

Le bodyright est la première marque de « droit d’auteur » à affirmer et à revendiquer le droit à la protection contre la violence numérique.

La violence à l’égard des femmes et des filles est une violation des droits humains et de l’autonomie corporelle. Il s’agit d’un problème de santé publique mondial urgent. Alimentée par la misogynie, la violence basée sur le genre tend à augmenter en ligne. La violence numérique est généralement très sexualisée et prend de nombreuses formes, notamment le cyberharcèlement, les discours haineux, la divulgation de données à caractère personnel et l’utilisation non consensuelle d’images et de vidéos, comme les deepfakes.

Cliquez ici pour plus d'informations:  https://www.unfpa.org/bodyright